Loisir : bien choisir votre batterie de camping car
Vous vous apprêter à acheter ou à louer un camping car pour partir en vacances en toute liberté dans le monde entier?
Une grande partie de l’agrément de vos futurs séjours en camping car seront conditionnés par l’autonomie de votre camping car.
En effet, dans un camping car, il y a de plus en plus d’électronique et de matériel électrique embarqué. le frigo, le chauffage et la climatisation, les plaques, mais aussi le GPS, l’accès à internet, l’ordinateur, le système audio et vidéo,…
La batterie devient donc un élément clé qu’il faudra choisir avec discernement. Certains sites vendant des batteries proposent des conseils comme Trouvez votre batterie ici, certains blogs seront aussi très utile pour bien choisir votre batterie comme Choisir sa batterie
Vous trouverez ci-dessous un petit tour d’horizon des différents types de batteries qui nous l’espérons vous aidera à bien choisir la batterie de votre camping car.
Quatre types de batterie existent pour les camping car. Les batteries au plomb ouvertes, les batteries AGM, les batteries au gel et les batteries ion lithium, les plus chères.
Les batteries les moins chères sont les batteries au plomb ouvertes qui ont comme inconvénient principal de devoir être rechargées en eau régulièrement.
Pour choisir vos batteries de camping car, il faudra évaluer votre besoin en fonction de votre style de vie, de vos habitudes et bien sûr du nombre de personnes à bord.
A partir de là, la durée de charge, la durée de vie, le prix et la puissance de la batterie seront des éléments à prendre en compte lors de votre achat.
Pour en savoir plus sur le choix de votre camping car, nous vous proposons de découvrir
Choisir votre camping car
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Le taxi scooter : pourquoi pas ?
L’univers du transport a bien évolué ces dernières années. De nouveaux moyens de transport accessibles à tous ont fait leur apparition. Se déplacer en milieu urbain n’est pas toujours aisé. Si l’on possède une voiture, on est confronté au problème des embouteillages. Il en est de même pour les transports publics.
Heureusement, une nouvelle solution se développe de plus en plus dans les grandes villes françaises. Il s’agit du taxi scooter. Ces véhicules, de par leur taille, peuvent parfaitement se faufiler entre les voitures. C’est un excellent moyen pour arriver à temps au travail ou à un rendez-vous important.
Fini les embouteillages avec un taxi scooter
Ce mode de transport connaît un essor fulgurant, surtout en centre-ville. Le déplacement en ville est de plus en plus saturé avec la hausse du nombre de véhicules qui s’y déplacent. D’ailleurs, les motos séduisent un grand nombre d’utilisateurs à l’heure actuelle.
Si prendre un taxi classique était pratique il y a encore quelques années, cette option reviendrait quasiment à conduire sa propre voiture. Le taxi scooter constitue une alternative souvent plus intéressante. Des professionnels comme Felix proposent un moyen de transport beaucoup plus pratique. Cette plateforme offre aux internautes et aux mobinautes la possibilité de faire leur réservation en toute simplicité.
Une solution plus pratique et écologique
Contrairement à une voiture, les scooters sont beaucoup plus économiques en matière de carburant. Pour le cas de Felix, la société a opté pour l’innovation en proposant des scooters électriques. Et c’est un moyen idéal pour éviter les embouteillages quelle que soit l’heure à laquelle vous utilisez ce concept !
De plus, les tarifs sont similaires à ceux proposés par les taxis classiques. Mais cette option est beaucoup plus abordable par rapport aux motos-taxis traditionnelles. Avec les dernières technologies, vous allez encore plus réduire votre empreinte carbone grâce à ce mode de transport. Pour aller au travail ou rentrer à la maison, quelques clics suffisent pour trouver un taxi scooter.
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La concurrence s’organise pour contrer Tesla
Pendant que Volkswagen et Fisker tentent de faire concurrence à la célèbre Tesla Model S, la Compagnie Electrique Lion a choisi, quant à elle de s’attaquer au Tesla Semi Truck avant même sa commercialisation. Zoom sur l’ID Vizzion de Volkswagen, l’EMotion de Fisker et le projet de camion urbain de la CEL.
ID Vizzion : le summum de la conduite autonome
Après la Compacte ID, l’ID Buzz (monospace) et l’ID Crozz (SUV), Volkswagen présentera son quatrième modèle ID au Salon de Genève au début de mars : l’ID Vizzion. Ce modèle est l’archétype même du véhicule du futur : sans volant, ni pédales, le Vizzion se contrôlera entièrement grâce aux commandes vocales et gestuelles de ses passagers. Néanmoins, même si elle présente une autonomie légèrement supérieure à la Model S (665 km d’autonomie annoncée pour la Volkswagen, 600 km pour la Tesla S), ses caractéristiques générales sont un peu moins bonnes que la Tesla au premier abord :
- 5.11 m de long pour la Vizzion contre 4.97 m pour la Model S,
- 180 km/h maximum (250 km/h chez Tesla),
- seulement 306 chevaux quand la Model S en affiche de 320 à 598 selon les options,
- 4 places dans la Vizzion (5 + 2 pour la S).
En revanche, Volkswagen joue la carte de l’esthétique et du design. L’ID Vizzion aura donc des portes à ouverture antagoniste et une élégante carrosserie bi-ton. Un vrai pari pour la marque qui surprendra par son architecture intérieure déroutante.
Fisker choisit un look sportif pour son EMotion
Présenté lors du CES de Las Vegas au début de l’année 2018, l’EMotion joue sur un look très sportif avec sa structure en fibre de carbone et aluminium. Comme l’ID Vizzion, elle présente une autonomie légèrement supérieure à la Model S de Tesla (autonomie annoncée de 640 km). En revanche, elle reste assez proche de la Tesla avec ses 5 places (en option) et 260 km/h maximum. A l’instar de la Vizzion, elle table sur le futur avec sa conduite totalement autonome grâce au Lidar (télédétection au laser). Toujours comme la Vizzion, sa petite touche d’originalité design vient de l’ouverture de ses portes en élytre, déjà connu mais toujours surprenant.
Malgré tout, l’EMotion présente deux gros défauts pour contrer efficacement la Model S de Tesla. Tout d’abord, son prix. Présentée à partir de 107 000 €, son prix est 30 000€ au-dessus de la S dont les prix démarrent à 75 700€. Enfin, elle ne sera pas commercialisée avant 2023, date un peu tardive pour vraiment concurrencer la Tesla S ou la Vizzion.
La CEL s’attaque au Tesla Semi-Truck
L’objectif de la Compagnie Electrique Lion est clair : commercialiser un camion urbain avant la sortie du Semi-Truck de Tesla. Cette entreprise québécoise, spécialisée dans les autobus (électrique ou diesel) prévoit donc la sortie d’un camion urbain 100% électrique dès la fin de l’année 2018. Choisissant de ne pas contrer Tesla sur les longues distances, la CEL privilégie le développement d’un véhicule qui pourrait parcourir 200 à 250 km/jour (camion de service, pour le transport des déchets, ambulance, etc.). Mais, Marc Bédard ne prévoit pas de s’arrêter là :
« On lance un camion urbain. On ne se lance pas dans la longue distance la première journée mais ça va venir assez rapidement. »
Afin d’atteindre l’objectif fixé, Marc Bédard prévoit d’aller directement sur le terrain de Tesla en ouvrant la première usine CEL aux Etats-Unis avant 2021. Il prévoit également de tripler la superficie des installations actuelles à Saint-Jérôme (Québec, Canada).
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Les Tesla de compétition auront bientôt leur championnat
Alors que les compétitions de véhicules 100% électriques connaissent un succès croissant, à l’image de la Formule E, Tesla a officiellement obtenu l’approbation de la FIA pour avoir une compétition qui lui sera entièrement réservée, après avoir réussi le crash-test officiel de la Fédération fin janvier à Barcelone.
Le succès croissant des compétitions 100 % électriques
C’est en 2014 que débute l’aventure des véhicules 100% électriques avec le Championnat du Monde de monoplaces électriques. De nombreuses marques ont choisi de suivre la tendance, à l’image de Volkswagen. En effet, la marque a décidé de prendre part à mythique Montée de Pikes Peak cette année. Elle alignera sur la ligne de départ un prototype 100% électrique, une Norma recarrossée, pilotée par Romain Dumas, déjà 3 fois vainqueur de cette course.
Le Championnat EPCS : 2 manches, 20 pilotes
Le Championnat EPCS (Electric Production Car Series) aura pour circuit de base le circuit de Pau-Arnos. Les rondes incluront deux manches de 37 miles, soit 60 km, une manche de jour et une manche au crépuscule. Chaque course aura jusqu’à 20 pilotes conduisant des Tesla Model S P100D, spécialement préparées pour la course automobile, avec une puissance maximum de 778 chevaux (585 kW). Le Championnat EPCS sera lancé dans le courant de l’année 2018 et pourra être suivi en direct sur Youtube.
Si cela n’est pas clairement dit, il semblerait que Tesla souhaite se faire les dents avec une série de courses monotypes électriques afin d’affronter, à terme, des véhicules thermiques en compétition.
La Tesla Model S P100D
La Tesla Model S était déjà impressionnante avec ses 0 à 100 km/h en 2.7 secondes. La Tesla Model S P100D faisait encore mieux avec seulement 2.34 secondes pour passer de 0 à 100 km/h. Le modèle de compétition ira encore au-delà avec seulement 2.1 secondes pour arriver à 100 km/h. C’est Electric GT qui s’est chargé des modifications de la Model S P100D, choisissant, entre autres, de retirer la majorité des éléments de l’habitacle et de réajuster les suspensions pour obtenir un véhicule plus léger et aérodynamique.
Il y aura cependant un gros travail à faire sur les batteries. Celles-ci n’étant pas étudiées pour rouler très vite sur de longues périodes, les risques de surchauffe restent un problème qu’il ne faudra pas négliger.
La concurrence en marche ?
Ferrari l’a annoncé lors du Salon de Détroit 2018, en janvier : après la LaFerrari, son premier modèle hybride, la marque prévoit la sortie d’une supercar 100 % électrique pour 2020. Un projet qui représente une véritable attaque de Musk puisque la sortie serait prévue avant celle du Tesla Roadster.
Mais Ferrari n’est pas la seule à avoir décidé de marcher sur les plate-bandes de Tesla : Porsche semblerait bien décidé à miser sur l’électrique elle aussi. La preuve en est avec l’annonce d’un plan d’investissement de 6 milliards d’euros sur 4 ans pour proposer une large gamme de véhicules électriques dans de très courts délais. Ainsi, la marque prévoit la sortie de son premier modèle, la Mission E pour 2020 elle aussi. La Mission E bénéficiera d’ailleurs à elle seule de 500 millions d’euros d’investissement pour son développement.
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Tesla Model 3 : entre retard et évolution
Découverte pour la première fois en mars 2016, la Model 3 est présentée par Tesla comme un modèle « low-cost ». En effet, avec 35 000 $ (28 600 €) affichés pour la version Standard (59 500 $ / 49 000 € pour la version Full-option), cette berline électrique est presque 3 fois moins chère que la Model S (autour de 80 000 €).
Mais, alors que Tesla se débat pour assurer les premières livraisons sans accumuler trop de retard, Elon Musk a annoncé que la Tesla Model 3 devrait bénéficier de nouvelles technologies dans un futur proche.
Tesla Model 3 : une vraie « safe car » fonctionnelle
Caractéristiques techniques de la Tesla Model 3
- 5 places pouvant accueillir 5 adultes confortablement installés. Contrairement à la Tesla Roadster qui peut accueillir 4 personnes, à condition que les passagers arrière n’aient pas les jambes trop longues.
- De 0 à 100 km/h (0-60 mph) en 5.1 à 5.6 secondes
- de 354 à 499 km (220 à 310 miles) d’autonomie. Si une autonomie de 346 km (215 miles) était annoncée à la première conférence de presse, la Tesla Model 3 a ensuite été homologuée à 499 km d’autonomie (norme EPA) en novembre 2017.
Confort et fonctionnalités connectées
Les trajets dans la Tesla Model 3 seront connectés grâce à l’écran tactile 15 pouces incluant des cartes embarquées et la navigation GPS, connexion Internet et Wi-Fi. En outre, le véhicule est doté d’une entrée sans clé ainsi que du contrôle à distance de la température de l’habitacle pour le confort du conducteur et de ses passagers. Enfin, les sièges arrière peuvent s’incliner (60/40), assurant ainsi un confort maximal aux passagers.
Un modèle « 5-star » dans toutes les catégories
Elon Musk l’affirme dans sa présentation : la Tesla Model 3 affiche 5 étoiles dans toutes les catégories. Et, de fait, elle présente de nombreux points de sécurité tels que le freinage automatique d’urgence, l’évitement de collision, huit airbags, contrôle électronique de la stabilité et de la traction, …
Du modèle Standard aux Extensions Premium
Le modèle Standard présente déjà de nombreuses fonctionnalités : écran tactile 15 pouces, système de contrôle des conditions dans l’habitacle, console centrale avec stockage et deux ports USB, etc.
Les versions supérieures proposent de nombreuses options supplémentaires, tant esthétiques que pratiques. Ainsi, les sièges avant peut être ajustables selon 12 positions différentes, le toit panoramique peut être teinté, les sièges peuvent avoir une fonction chauffante, … Et, bien sûr, les modèles Premium de la Tesla 3 proposent aussi des matériaux (inserts bois par exemple) et un système audio haut-de-gamme ou encore des options comme la possibilité d’avoir deux ports USB à l’arrière. Pour un modèle toutes options, vous devrez quand même ajouter 17 000 $, soit presque 14 000 €, aux 35 000 $ (28 600€) du modèle de base…
De nouvelles améliorations en cours de développement
Il y a quelques jours, Elon Musk faisait une nouvelle grande annonce concernant la Tesla Model 3. Répondant à la question d’un internaute à propos du contrôle vocal sur Twitter, il déclare :
Absolument. Vous serez capable de faire à peu près n’importe quoi via la commande vocale. L’équipe d’ingénieurs se concentre sur les fonctionnalités de la Model 3 en ce moment, mais cela se fera bientôt, nous ajouterons alors beaucoup plus de fonctionnalités.
Le tableau de bord deviendrait alors encore plus minimaliste qu’il ne l’est déjà avec seulement un écran tactile central. Néanmoins, certains s’inquiètent déjà des éventuels nouveaux retards de production que ces nouvelles fonctionnalités pourraient entraîner.
Points forts
- Son prix : même si les options augmentent la note finale, la Model 3 beaucoup moins chère que la plupart des autres véhicules de Tesla.
- La sécurité : 5 étoiles dans toutes les catégories.
- Le rapport taille / confort : plus petite que la Model S, elle peut néanmoins accueillir 5 personnes adultes correctement installées.
Points faibles
- Son coffre : 5 pieds cubes(à peine plus de 400 litres).
- Les nouvelles technologies en développement : l’amélioration annoncée de la Model 3 pourraient retarder encore les délais de livraison.
- Accès au réseau Superchargeur payant.
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L’hydrogène peut-il être le carburant du futur ?
Si le marché des véhicules fonctionnant à l’hydrogène reste mineur en France et dans le monde, il pourrait se développer dans les années à venir. Présentant de nombreux avantages par rapport à l’électricité, l’hydrogène a aussi quelques inconvénients, notamment au regard de sa production, loin d’être écologique pour le moment.
Comment fonctionnent les véhicules à hydrogène ?
Dotés d’une pile combustible embarquée, les moteurs à hydrogène fonctionnent grâce à un mélange d’hydrogène et d’oxygène qui crée de l’électricité. Et, contrairement aux véhicules électriques qui rejettent une infime proportion de particules fines, les véhicules à hydrogène ne rejettent que de la vapeur d’eau.
Avantages et inconvénients du véhicule à hydrogène
Les véhicules à hydrogène présentent de nombreux avantages :
- Avec une autonomie d’environ 500 km, le plein d’une voiture hydrogène ne coûte qu’une quarantaine d’euros.
- La recharge est ultra-rapide puisqu’elle prend moins de 5 minutes, comme un plein d’essence classique.
- Aucune émission de particules fines, le seule rejet étant de la vapeur d’eau.
En revanche, il y a également quelques inconvénients, qui restent assez importants :
- Le prix. Très peu de marques automobiles (Hyundai, Toyota, …) se sont lancées dans la production de voitures à hydrogène. De ce fait, le budget à prévoir est assez important puisqu’il faudra compter 65 à 70 000 € pour devenir propriétaire d’un véhicule hydrogène.
- L’impact écologique. En effet, si elle ne rejette que de la vapeur d’eau, la quasi-totalité de l’hydrogène est produite à partir du gaz naturel, du pétrole ou du charbon. Un gros travail reste donc à faire sur la possibilité de production via les énergies renouvelables.
- Les matériaux. La réaction entre l’hydrogène et l’oxygène doit passer par un catalyseur en platine. Le platine est un métal rare et cher, dont la production n’est pas toujours éthiquement responsable.
Le retard français sur les véhicules hydrogène
Alors que le plan « Nouvelle France Industrielle » lancé par Arnaud Montebourg en 2013 prévoyait 100 stations de rechargement à l’horizon 2018, seules 7 stations sont actuellement installées en France. La France affiche donc un gros retard par rapport au Japon, à l’Allemagne ou à la Californie qui possèdent déjà une centaine de stations sur leur territoire respectif.
De plus, les constructeurs français restent assez frileux sur l’hydrogène et préfèrent privilégier l’électrique, à l’image de PSA (Peugeot – Citroën – DS) qui explique sa réticence en parlant: « des tentatives dans les années 2000, qui se sont plus ou moins soldées par des échecs ».
Cependant, le développement de cette solution est en cours. Par exemple, la société Hype est une compagnie de taxis qui n’utilise que des véhicules à hydrogène. Si l’installation de stations de recharge est plus longue que prévue, une station a été inaugurée en décembre 2017 à l’aéroport d’Orly et d’autres stations sont prévues, notamment à Versailles ou à l’aéroport de Roissy – Charles De Gaulle.
Prévisions pour le futur de l’hydrogène
Si la France tente encore de rattraper son retard sur l’installation de stations de recharge, l’objectif mondial est d’avoir 22 millions de véhicules d’ici 2032, soit 2 % du parc automobile mondial.
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Tesla Roadster : le nouveau coup de génie d’Elon Musk
En 2008, Tesla sortait son premier modèle de supercar électrique. Si celui-ci n’était qu’une simple version électrique de la Lotus Elise, il présentait déjà de nombreuses caractéristiques notables. Elon Musk poursuit sur sa lancée avec le Tesla Roadster. En attendant sa sortie, prévue pour 2020, il a présenté son nouveau coup de génie en novembre 2017, en même temps que son impressionnant Tesla Semi Truck.
Le grand show du Tesla Roadster
Après une longue présentation du Tesla Semi Truck lors de sa conférence de presse au mois de décembre, Elon Musk a emmené ses invités à la découverte du Tesla Roadster. Si les personnes présentes n’ont pu admirer que le modèle « de base », celui-ci est déjà sacrément impressionnant. Outre sa couleur rouge cerise flamboyante, les chiffres annoncés par le patron de Tesla laissent pantois :
- Trois moteurs (un à l’avant et deux à l’arrière)
- Quatre roues motrices
- Une batterie de 200 kWh, soit deux fois plus que l’accumulateur de la Tesla Model S ou la Tesla Model X). Aucun chiffre n’a été annoncé pour l’instant mais il semblerait que ce modèle de batterie pourrait permettre des charges ultra-rapides.
- De 0 à 100 km/h en 2.1 secondes (0-60 mph en 1.9 secondes) ou de 0 à 160 km/h en 4.2 secondes (0-100 mph)
- Vitesse maximum 400 km/h
- Transmission intégrale, 10 000 Nm de couple
- 400 m départ arrêté en 8.8 secondes, …
L’information la plus surprenante de toute reste celle de l’autonomie. Elon Musk annonce en effet jusqu’à 1 000 km (620 miles) d’autonomie en une seule charge ! Cela correspond à un aller-retour Los Angeles – San Francisco sans avoir à recharger son véhicule, une autonomie record donc.
La Tesla Roadster est également une voiture à 4 places, même si Musk reconnaît lui-même que « vous ne pourrez pas mettre deux géants à l’arrière ».
Pour finir, le petit plus esthétique : son toit panoramique et escamotable pour une conduite cheveux au vent.
Le point noir du Tesla Roadster : son prix
Comme souvent chez cette marque, le gros inconvénient du Tesla Roadster reste son prix. Comptez 200 000 $ pour le modèle de base, soit environ 170 000 €. Il vous faudra par ailleurs verser un acompte de 43 000 € pour réserver votre future voiture.
En outre, une version en série limitée « Founders Series » dont il n’y aura que 1 000 modèles disponibles à la réservation, coûtera quant à elle la bagatelle de 215 000 €.
La Roadster restera donc réservée à une élite. Le nombre limité de clients pourrait cependant se révéler être un avantage pour Tesla qui peine toujours à suivre l’affluence des commandes de son Model 3.
Le Tesla Roadster en route pour Mars
Tout a commencé par un tweet posté par Elon Musk lui-même le 2 décembre 2017 :
La charge utile sera mon Tesla Roadster rouge cerise jouant Space Oddity. Destination : l’orbite de Mars. Elle sera dans l’espace pour un milliard d’années si rien n’explose lors de l’ascension.
Si certains ont d’abord cru à une plaisanterie de la part de Musk, il s’est avéré que celui-ci était très sérieux. Et, après de multiples reports de la date de lancement, le Falcon Heavy devrait faire son premier test de mise à feu ce vendredi, 19 janvier, avec à son bord la fameuse Roadster.
En cas de réussite, Tesla s’inscrirait comme la première entreprise privée à lancer une fusée au-delà de l’orbite terrestre, vers une autre planète. Un très gros coup de pub à jouer pour Musk mais aussi pour la Nasa, principal investisseur de Falcon Heavy.
- Publié dans Actus, Energie et technologie
McLaren lance des pneus et jantes pour l’hiver
La puissante marque d’automobile de sport McLaren a noué un partenariat avec Pirelli, afin de s’assurer que les dérapages que vous pourriez avoir en voiture, vous soient entièrement imputables, et non à votre automobile.
Généralement, lorsque les premiers moments de froid surviennent, de nombreuses voitures, notamment de sport, se trouvent piégées dans les garages pour plusieurs mois, et pour cause, elles ne supportent pas le froid, pire, elles n’ont pas des pneus qui s’adaptent à la neige. La marque anglaise, en s’associant à Pirelli permet aux propriétaires de véhicules de sport McLaren, d’utiliser leur voiture à plein temps, même en hiver. Plus besoin donc de garer votre McLaren pendant la période hivernale. Mais comment est-ce possible ?
Des jantes en alliage léger
Comment Pirelli et McLaren ont-ils réussi ce pari ? Pour arriver à ce point, les deux géants ont lancé une offre exceptionnelle, qui contient des jantes en alliage léger, qui sont chaussées de pneus pour l’hiver. Il s’agit de jantes Stealth qui comporte 14 rayons, et équipées de pneus hiver Pirelli MC Sottozero 3. Ces pneus possèdent un système de surveillance révolutionnaire de la pression des pneus de McLaren. L’ensemble formé par les jantes et les pneus est prêt à être monté sur les 470S, 540C, 570GT, ou encore la nouvelle 570S Spider. La jante et les pneus (Pirelli-McLaren), forment un tout ultraléger, fat pour toutes les routes, quelles qu’elles soient, quelle que soit la saison (été, automne, printemps, hiver).
Opter pour un pneu qui s’adapte très bien aux conditions routières, et surtout météorologiques, cela doit être une priorité pour tout conducteur. Il ne s’agit pas uniquement de voitures de sport, mais toutes les voitures sont concernées par l’effet du froid sur les pneus. La sécurité en dépend. C’est par ces propos que le directeur du service après-vente de McLaren, M. Carl Whipp, s’est exprimé, en vantant les mérites des nouvelles jantes et nouveaux pneus pour l’hiver.
Quelques caractéristiques
Ces nouveaux pneus mis dans le commerce par McLaren et Pirelli, ont la faculté de réduire les risques d’aquaplanage, grâce à une bande de roulement haute. En réduisant ces risques, ils offrent une adhérence maximale. Ces pneus sont efficaces de la même façon, sur les routes sèches ou humides, quand les températures baissent (en dessous de 7 °C). Pour ce qui concerne la performance, ces pneus Pirelli MC Sottozero peuvent très bien réduire la distance de freinage par temps de froid de votre véhicule McLaren Sports Series, de 10% sur piste mouillée et de 20% sur piste enneigée.
L’association entre McLaren et Pirelli n’est pas sans intérêt pour les deux partis. Mais ce qui est sûr, c’est que votre voiture de sport, lorsqu’elle utilise ces pneus, elle est vous assure la sécurité.
- Publié dans Buzz, Energie et technologie, McLaren
La voiture électrique la moins chère du marché
Dire qu’il n’y a qu’une seule voiture électrique moins chère sur le marché de l’automobile, c’est vraiment osé. Car certaines marques de voiture se verront rabaisser. C’est pour cela que nous parlerons des voitures électriques les moins chères du marché. En effet, il n’y a pas qu’une seule marque qui peut se dire meilleure en termes de prix. Etre moins cher, c’est une chose, mais marier la qualité et le prix, c’est ce qui est vraiment important. Alors, quelles sont ces voitures qui sont faites pour les petits budgets ?
Voiture électrique neuve à petit prix, est-ce possible ?
C’est une question qui a tout son sens, car le low-cost est souvent étiqueté aux voitures d’occasion. De plus, les voitures électriques sont pour la plupart, très chères. En général, le prix moyen d’une voiture électrique neuve peut atteindre les 30 000 euros. Ce chiffre concerne l’année 2016. Actuellement, il peut atteindre 35 000 euros. C’est une valeur monétaire qui est vraiment élevée pour beaucoup d’automobilistes. Fort heureusement, les marques font l’effort de proposer des voitures à la portée de toutes les bourses. Ainsi, on peut acheter des voitures électriques neuves qui ne coûtent pas la peau des fesses. Ces voitures sont ciblées, et voici un bref aperçu de celles que les marques nous proposent en 2017.
Les voitures électriques les moins chères du marché en 2017
En tête des voitures les moins, une Nissan trouve sa place. La voiture est actuellement la moins chère. Il s’agit de la Nissan Leaf, qui détient le record de vente de voitures électriques vendues. Nissan Leaf, c’est une voiture électrique connectée, qui utilise une batterie d’une très grande société américaine de stockage d’énergie. Il s’agit d’une berline spacieuse pour une voiture électrique. Elle reçoit 5 passagers. Nissan Leaf est sans doute la voiture électrique la plus populaire. Voici ses caractéristiques :
- Berline familiale ;
- Capacité d’accueil : 5 places ;
- Vitesse maximale : 144 km/h ;
- Autonomie : 250 km ;
- Durée de charge : 4 heures ;
- Volume du coffre : 370 litres ;
- Prix : 14 400 euros
Nissan Leaf est une voiture 100% électrique et autonome, qui a une esthétique particulièrement favorable.
Notons que la marque japonaise propose également un autre modèle électrique ultra performante, qui affiche un prix assez abordable. Il s’agit du SUV Nissan QUASHQAI.
Le constructeur Renault aussi propose un modèle exclusivement électrique, et très ergonomique sur plusieurs points. Renault Zoe est une voiture qui vous donnera le plaisir de conduire exclusivement électrique. Le modèle est très vendu en France. Voici ce que le caractérise :
- Voiture électrique très connectée ;
- Citadine familiale ;
- Capacité d’accueil : 5 places ;
- Autonomie sur batterie : 130 km ;
- Volume du coffre : 338 litres ;
- Prix : 12 400 euros hors location de batterie
A part ces deux principales voitures électriques moins chères, il y a aussi la Smart Fortwo et la BEE-BEE XS qui sont des modèles de voiture électrique très performantes.
- Publié dans Actus, Compétition, Energie et technologie
4 milliards pour permettre à Didi Chuxing d’accélérer sur l’IA et les voitures autonomes
Le concurrent chinois d’Uber, Didi Chuxing, a levé 4 milliards de dollars et atteint une valorisation de 56 milliards de dollars.
Le leader chinois des taxis nouvelle génération revendique 450 millions de clients et 21 millions de chauffeurs.
Didi Chuxing investi dans l’intelligence artificielle, dans les véhicules électrique et dans les véhicules autonomes.
Pour rattraper son retard sur les autres protagonistes de ce secteur Didi Chuxing s’est impllanté dans la Silicon Valley et a débauché des ingénieurs d’Uber et de Waymo.
Avec cette nouvelle levée de fonds, la licorne chinoise souhaite se développer à l’international, notamment à Taïwan et au Mexique.
- Publié dans Energie et technologie, Startups